After the injury that kept him out of pre-season testing, Franco Morbidelli will finally return to the track this weekend at the Qatar GP. A small clot in his head forced the Pramac rider to miss the Sepang and Losail tests, as well as affecting his training.
On the eve of the season opener, #21 ensured that he is feeling good and is aware that he needs to take it easy at the beginning as he will have to adapt: ‘I’m feeling very good. It was a particular pre-season for me without testing – this year when the tests would probably be the most important of all the years I’ve been in MotoGP because it’s a completely new bike and a particularly high competition championship. But that’s the situation and now we will recover in the best way, which is to take it easy in the initial phase and try to keep the pace low at least off the track and not stress too much if things aren’t going well. Because we know that I need to learn many things in this short time‘.
Même absent des pistes, Morbidelli a réussi à se préparer avec Pramac, comme il l’a expliqué : ‘Il était très facile de comprendre que la moto est incroyable et fantastique. Le travail que j’ai fait à la maison était de rester au courant des séances et de la moto autant que possible même en étant à la maison. Et aussi, même si j’étais en train de récupérer et de guérir d’une blessure, j’ai eu la chance de venir ici, de suivre les tests et de voir en direct ce qui se passait, le niveau des motos et de tous. Quand j’étais à la maison, j’ai pu parler avec mon chef mécanicien, Massimo [Branchini], pendant longtemps sur les motos. J’ai donc passé beaucoup de temps à parler de motos même si je n’étais pas là’.
Il s’agissait d’une blessure très différente et sérieuse, que l’Italien ne veut pas revivre, et qui a conditionné son entraînement : ‘J’ai pu faire tout mon possible pour récupérer de cette blessure, qui est très grave et que vous devez respecter beaucoup, vous devez y aller doucement dans l’effort que vous faites lorsque vous faites des exercices d’aérobie. En fait, je n’ai pas pu courir, par exemple. J’ai fait tout ce que je pouvais en fonction de la blessure que j’avais’.
Maintenant totalement rétabli et sans avoir besoin de prendre des précautions, Morbidelli a admis qu’il y avait des aspects pires de la blessure que de se sentir physiquement apte et de devoir quand même prendre beaucoup de précautions : ‘Il y avait des parties pires dans cette blessure, beaucoup pires. Par exemple, son histoire. J’ai parlé à Marc [Márquez] et il m’a dit comment il m’a trouvé sur la piste et ce qui se passait. Il y avait des choses pires dans cette blessure. La partie heureuse est que rien de ce que tout le monde craignait qu’il arrive ne s’est produit. Dieu merci ! Et la partie heureuse a été de récupérer et d’essayer de préparer une saison sur la meilleure moto possible pour préparer une saison’.