Les pénalités pour les infractions liées à la pression minimale des pneus en MotoGP en 2024 sont désormais connues. Les valeurs doivent être respectées uniquement lors des courses (Sprint et principale), pouvant varier d’un circuit à l’autre en fonction des exigences spécifiques de chacun. La lecture est toujours basée sur la pression moyenne de tous les tours.
Les règles récemment annoncées par le MotoGP et le fournisseur de pneus, Michelin, ont été élaborées en collaboration avec les constructeurs. Les pilotes doivent respecter la pression minimale des pneus sur au moins 60 % des tours d’une course sur 15 tours (30 % dans le cas des courses Sprint). Les courses flag-to-flag et les pneus pluie ne sont pas concernés.
Et les sanctions ? Elles seront sévères, mais n’entraîneront pas la disqualification du pilote contrevenant comme cela avait été spéculé. Les infractions en course Sprint entraînent une pénalité de huit secondes de temps ajouté, tandis que dans les courses principales, cette pénalité est de 16 secondes.